 
  
	  
  
 
 
      
        
Article 1 : Présentation du Festival International du Film Fantastique 
        de Sitges 2011 
		Article 2 : Au bout de 5 jours de festival, Mathilde nous livre ses 4 films préférés 
        
		Article 3 : Ambiance, rencontres, meilleurs films... Mathilde nous raconte ses 10 jours à Sitges !
        
		
Sitges, ses plages, son église La Punta, ses rues blanches et bleues, 
        ses touristes, sa communauté gay et son mètre-carré 
        le plus cher à l'achat d'Espagne ! En pleine période estivale, 
        marcher dans le centre piéton relève du parcours du combattant 
        - je l'ai testé. Cette station balnéaire à proximité 
        de Barcelone est un peu le Deauville parisien (sans la pluie et les galets). 
        D'ailleurs, tout comme Deauville fête son cinéma américain, 
        Sitges fête son cinéma
 fantastique.
        
        Bien plus connu que Gérardmer au niveau international, le festival 
        de Sitges entame cette semaine sa 44ème édition ! Et le 
        programme est toujours aussi alléchant grâce à une 
        palette très variée de films venant de tous les horizons, 
        avec toujours en honneur le cinéma asiatique.

Télécharger 
        le programme du festival en pdf
        (Attention, sortez votre dictionnaire de votre poche - ou vos souvenirs 
        d'école - le programme est en version catalane uniquement !)
        Sitges, c'est donc bouffer en moyenne cinq films par jour - je vais me 
        faire un thermos de café, assister et participer aux conférences 
        avec des directeurs plutôt détendus - les vieux routards 
        apportent souvent la bière en cours de séance, genre Tarantino 
        - et une foule d'évènements entoure la projection classique 
        des films comme la marche des zombies en compagnie d'habitués du 
        genre L'année dernière, Tom Savini faisait le maquillage, 
        sisi. Personnellement, j'ai surtout hâte de participer aux marathons 
        films d'horreur : des cheerleaders et du sang pendant toute une nuit, 
        qui n'en veut ?
        
        Bref, les nuits seront courtes, sans parler du caractère festif 
        habituel de la ville dont les sirènes ont fait tourner la tête 
        à plus d'un guest. Qui n'a jamais rêvé d'aider son 
        réalisateur préféré à vomir dans le 
        caniveau en lui tapotant l'épaule ?
        
        Pour conclure, Sitges est un festival pas comme les autres. Loin du luxe 
        distant de Cannes ou du boboisme engagé de Sundance, il s'agit 
        avant tout d'un festival de fans, amateurs et professionnels confondus. 
        A l'heure où j'écris ces quelques mots, la liste des films 
        est disponible depuis peu - j'ai passé mon week-end à cocher 
        ce que je voulais voir - et celle des guests devrait tomber d'un moment 
        à l'autre. Suspense donc !
        
        Quoiqu'il en soit, mercredi soir, je suis dans l'avion, je vous promets 
        de revenir avec plein de jolis souvenirs et rappelez-vous : Zombies don't 
        run !
        
        
        
      
PS : le mec en t-shirt noir, c'est le directeur du festival
      
Posté par Mathilde,
        le mardi 4 octobre 2011, à 7h25
| Partager | Tweet | 
 
			
    
2 commentaires :
Bon vol, bon festival, et ne te fais pas mordre !
Moi ils me fichent un peu la trouille ces zombies, brr... Je suis la seule à trouver que la video est un peu gore ? ^^"
En tous cas le festival a l'air super cool, profite en bien ! Hate de lire les prochains articles de notre reporter, ca s'annonce bien drôle. :) Merci !

