L'équipe
Vous l'aurez compris, l'Etagère ne serait pas grand chose sans ses chroniqueurs. Nous ne sommes pas des professionnels, simplement des amoureux de cinéma et/ou de littérature qui aiment partager leurs avis et leur ressentis.Chaque chroniqueur a sa propre sensibilité et son propre genre. Alors avec un peu de temps, nous l'espérons, vous apprendrez à reconnaître le style de chacun et à suivre les recommandations de manière plus personnalisée... car quoi de mieux que de suivre les conseils d'une personne dont nous savons déjà que les goûts ressemblent aux nôtres ?
A propos d'elle :
Avec son oeil de photographe, Aline est une cinéphile (comme une biblivore) qui attache de l'importance à la forme comme au fond. Ses goûts éclectiques, guidés tantôt par le ressenti, tantôt par le message, lui permettent, lors de ses immersions dans les salles obscures, d'apprécier la magnificience des images (Into the Wild) comme les ambiances intimistes et poétiques (La Science des rêves). Coté livres, là encore histoire et mots lui apparaissent comme les deux faces indisociables d'un récit, et elle préférera toujours les auteurs qui savent manipuler la langue (tels Eric Emmanuel Schmitt) à ceux manipulant le box office littéraire (au hasard, Guillaume Musso). Au delà de tout ça, elle n'a finalement qu'une seule et vraie exigence à l'encontre d'un roman ou d'un film : qu'il la fasse rire, pleurer ou même s'indigner, tant qu'il ne la laisse pas indifférente.
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Avec son oeil de photographe, Aline est une cinéphile (comme une biblivore) qui attache de l'importance à la forme comme au fond. Ses goûts éclectiques, guidés tantôt par le ressenti, tantôt par le message, lui permettent, lors de ses immersions dans les salles obscures, d'apprécier la magnificience des images (Into the Wild) comme les ambiances intimistes et poétiques (La Science des rêves). Coté livres, là encore histoire et mots lui apparaissent comme les deux faces indisociables d'un récit, et elle préférera toujours les auteurs qui savent manipuler la langue (tels Eric Emmanuel Schmitt) à ceux manipulant le box office littéraire (au hasard, Guillaume Musso). Au delà de tout ça, elle n'a finalement qu'une seule et vraie exigence à l'encontre d'un roman ou d'un film : qu'il la fasse rire, pleurer ou même s'indigner, tant qu'il ne la laisse pas indifférente.
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A propos d'elle :
Si elle avait du choisir, il y a dix ans, entre littérature et cinéma, Charlotte aurait été catégorique : il n'y a rien de tel qu'un bon bouquin pour se plonger corps et âme dans un univers entier, partir pour quelques heures dans le monde de l'imagination. Aujourd'hui, elle serait moins catégorique : petit à petit, cette scientifique de formation a su se laisser apprivoiser par la diversité des supports artistiques. Ses films cultes sont aussi variés que possible : de Time Bandits à Blade Runner en passant par les Asterix, dessins animés de son enfance, la Cité des Enfants Perdus ou encore le Cercle des Poètes disparus. En littérature, ça peut aller de Pennac à Stephen King, en passant par JK Rowling ou Zola. Dans les deux cas, c'est une seule et même chose qui la laissera scotchée jusqu'au bout : le fait d'être plongée dans un univers qui possède une véritable identité et qui, une fois que l'on arrive à s'en extraire, nous laisse à la fois différent et identique, nous permet de grandir, un peu. (mais pas trop)
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Si elle avait du choisir, il y a dix ans, entre littérature et cinéma, Charlotte aurait été catégorique : il n'y a rien de tel qu'un bon bouquin pour se plonger corps et âme dans un univers entier, partir pour quelques heures dans le monde de l'imagination. Aujourd'hui, elle serait moins catégorique : petit à petit, cette scientifique de formation a su se laisser apprivoiser par la diversité des supports artistiques. Ses films cultes sont aussi variés que possible : de Time Bandits à Blade Runner en passant par les Asterix, dessins animés de son enfance, la Cité des Enfants Perdus ou encore le Cercle des Poètes disparus. En littérature, ça peut aller de Pennac à Stephen King, en passant par JK Rowling ou Zola. Dans les deux cas, c'est une seule et même chose qui la laissera scotchée jusqu'au bout : le fait d'être plongée dans un univers qui possède une véritable identité et qui, une fois que l'on arrive à s'en extraire, nous laisse à la fois différent et identique, nous permet de grandir, un peu. (mais pas trop)
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A propos d'elle :
Plutôt discrète, gaffeuse et la tête dans les nuages, Evelyne était persuadée, plus jeune, que sa seule façon d’épater les « grands » consistait à étaler sa culture livresque et filmique. À 8 ans, elle trimballait dans son cartable un exemplaire du Frankenstein de Mary Shelley ; à 13 ans elle s’était mise en tête de connaître le plus de vieux films possible et à 15 ans, elle se lança dans Le Pendule de Foucault, d’Umberto Eco, pour épater son prof de Français. Depuis, elle a appris qu’il ne sert à rien de se forcer et préfère picorer dans ce qu’elle aime, de Louis Aragon à Terry Pratchett, de Mirrormask à Muriel. Et finalement, ce qu’elle préfère, c’est être surprise par les mots et l’histoire, quel que soit le genre.
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Plutôt discrète, gaffeuse et la tête dans les nuages, Evelyne était persuadée, plus jeune, que sa seule façon d’épater les « grands » consistait à étaler sa culture livresque et filmique. À 8 ans, elle trimballait dans son cartable un exemplaire du Frankenstein de Mary Shelley ; à 13 ans elle s’était mise en tête de connaître le plus de vieux films possible et à 15 ans, elle se lança dans Le Pendule de Foucault, d’Umberto Eco, pour épater son prof de Français. Depuis, elle a appris qu’il ne sert à rien de se forcer et préfère picorer dans ce qu’elle aime, de Louis Aragon à Terry Pratchett, de Mirrormask à Muriel. Et finalement, ce qu’elle préfère, c’est être surprise par les mots et l’histoire, quel que soit le genre.
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A propos d'elle :
Contrairement à d'autres membres de l'Etagère, Florence n'a pas grandi dans les livres et les films et ne saura pas vous impressionner par sa culture épatante. Elle aime les œuvres simples, discrètes, qui savent la surprendre alors qu'elle ne s'y attendait pas forcément. A ses yeux une oeuvre réussie doit avant tout savoir installer une ambiance et des personnages, et laisser une trace dans l'esprit du spectateur ou du lecteur.
Attendez-vous donc plutôt à la voir s'émerveiller devant les non-dits de Lost in Translation, la subtilité de Garden State ou la folie d'un film étranger, que de sauter sur le dernier James Bond ou le dernier film d'action à la mode. Pareil pour les livres !
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Contrairement à d'autres membres de l'Etagère, Florence n'a pas grandi dans les livres et les films et ne saura pas vous impressionner par sa culture épatante. Elle aime les œuvres simples, discrètes, qui savent la surprendre alors qu'elle ne s'y attendait pas forcément. A ses yeux une oeuvre réussie doit avant tout savoir installer une ambiance et des personnages, et laisser une trace dans l'esprit du spectateur ou du lecteur.
Attendez-vous donc plutôt à la voir s'émerveiller devant les non-dits de Lost in Translation, la subtilité de Garden State ou la folie d'un film étranger, que de sauter sur le dernier James Bond ou le dernier film d'action à la mode. Pareil pour les livres !
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A propos d'elle :
Élevée par une mère pour qui "classique" rimait avec "Philip K. Dick", Julie a cultuellement grandi sous le soleil (vert) de la science-fiction et du fantastique, avant de goûter aux plaisirs de la littérature blanche, sans jamais abandonner l'un pour l'autre. Déroutée par la hiérarchisation absurde des plaisirs en fiction, elle considère la Bande Dessinée comme une forme de littérature et porte le même amour aux films d'A-nimation, aux séries B, au grands C-lassiques et à la culture Z. Peut-être parce qu'elle pense qu'il est rarement, dans les histoires, de faute narrative ou formelle qui ne puisse être rattrapée par la sincérité de l'auteur. Cependant, en bon esprit contradictoire, elle apprécie souvent plus que tout être immergée dans une histoire, croire à sa réalité au point d'en oublier l'existence du plumiste derrière.
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Élevée par une mère pour qui "classique" rimait avec "Philip K. Dick", Julie a cultuellement grandi sous le soleil (vert) de la science-fiction et du fantastique, avant de goûter aux plaisirs de la littérature blanche, sans jamais abandonner l'un pour l'autre. Déroutée par la hiérarchisation absurde des plaisirs en fiction, elle considère la Bande Dessinée comme une forme de littérature et porte le même amour aux films d'A-nimation, aux séries B, au grands C-lassiques et à la culture Z. Peut-être parce qu'elle pense qu'il est rarement, dans les histoires, de faute narrative ou formelle qui ne puisse être rattrapée par la sincérité de l'auteur. Cependant, en bon esprit contradictoire, elle apprécie souvent plus que tout être immergée dans une histoire, croire à sa réalité au point d'en oublier l'existence du plumiste derrière.
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A propos d'elle :
Mathilde a grandi au milieu des romans de gare, des livres d’horreur et d’épouvante et des films de space-opera, tradition familiale oblige. De manière naturelle, ses choix se sont portés vers la science-fiction, le fantastique et la fantasy. Sa croix et sa bannière sont d’amener quelques moutons électriques, des astronefs de Terminus et un soupçon d’herbe à pipe dans les rangées déjà bien fournies de l’étagère. La priorité sera donnée aux nouveaux auteurs du genre car, elle le jure sur la tête de Muad'Dib, il y a du talent à revendre et à partager.
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Mathilde a grandi au milieu des romans de gare, des livres d’horreur et d’épouvante et des films de space-opera, tradition familiale oblige. De manière naturelle, ses choix se sont portés vers la science-fiction, le fantastique et la fantasy. Sa croix et sa bannière sont d’amener quelques moutons électriques, des astronefs de Terminus et un soupçon d’herbe à pipe dans les rangées déjà bien fournies de l’étagère. La priorité sera donnée aux nouveaux auteurs du genre car, elle le jure sur la tête de Muad'Dib, il y a du talent à revendre et à partager.
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A propos d'elle :
De nature curieuse, Stéphanie aime découvrir de nouveaux univers littéraires et cinématographiques. Exigeante, il faut que la manière de raconter soit cohérente et que l’histoire en elle-même ait un message ou apporte quelque chose qui la transporte ailleurs. Elle aime les films à plusieurs sens, les histoires pour enfants, les fictions racontées avec délicatesse et poésie ainsi que les univers irréels ou absurdes dans lesquels on plonge tête la première. Sur son étagère, elle posera côte à côte les mots farfelus de Roald Dahl, de Pierre Gripari et de Jasper Fforde, les époustouflants Little Miss Sunshine, C.R.A.Z.Y et American Beauty mais aussi Les Cerfs-volants de Kaboul, La petite Fadette, Donnie Darko, Big Fish, Les Piliers de la Terre ou des dessins animés comme Anastasia et Le Roi Lion.
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De nature curieuse, Stéphanie aime découvrir de nouveaux univers littéraires et cinématographiques. Exigeante, il faut que la manière de raconter soit cohérente et que l’histoire en elle-même ait un message ou apporte quelque chose qui la transporte ailleurs. Elle aime les films à plusieurs sens, les histoires pour enfants, les fictions racontées avec délicatesse et poésie ainsi que les univers irréels ou absurdes dans lesquels on plonge tête la première. Sur son étagère, elle posera côte à côte les mots farfelus de Roald Dahl, de Pierre Gripari et de Jasper Fforde, les époustouflants Little Miss Sunshine, C.R.A.Z.Y et American Beauty mais aussi Les Cerfs-volants de Kaboul, La petite Fadette, Donnie Darko, Big Fish, Les Piliers de la Terre ou des dessins animés comme Anastasia et Le Roi Lion.
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A propos d'elle :
Junkie fictionnelle, critique dilettante, aime les mots de B.Vian et les maux de S.Penn, les fantaisies d’un Benacquista ou d’une Bridget J, les grands héros : Thursday Next, Truman, Indi, Han Solo et compagnie. Sans oublier les paysages crasseusement futuristes (1984, Blade Runner, La Route), les historiquement réalistes (Les Misérables, L’ombre du vent) et les joyeusement colorés (Disney and cie). Aime aussi la poésie, noyée dans la brutalité (Le Parfum, 21 Grams), Tim Burton, les prix Pulitzer et Ariel la petite sirène.
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Junkie fictionnelle, critique dilettante, aime les mots de B.Vian et les maux de S.Penn, les fantaisies d’un Benacquista ou d’une Bridget J, les grands héros : Thursday Next, Truman, Indi, Han Solo et compagnie. Sans oublier les paysages crasseusement futuristes (1984, Blade Runner, La Route), les historiquement réalistes (Les Misérables, L’ombre du vent) et les joyeusement colorés (Disney and cie). Aime aussi la poésie, noyée dans la brutalité (Le Parfum, 21 Grams), Tim Burton, les prix Pulitzer et Ariel la petite sirène.
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